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La liberte de presse tres acclame a Comores

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Les agents de la presse ont réclamé depuis longtemps et ceci dans n’importe quel pays, la liberté de la presse. En effet, la presse ne doit plus subir une censure plus des peines très lourdes lorsque que l’État constate un signe de diffamation envers eux surtout. Aux Comores, les démarches vers cette liberté de la presse ont été bloquées.

Que veut dire la liberté de la presse ?

Un pays démocratique ne doit pas avoir de souci pour cette liberté de la presse. Par définition, la presse dans un pays est libre quand elle a le droit de faire des enquêtes exclusives sur un sujet quelconque et non défini par l’État. Les médias sont libres de diffuser des informations au citoyens, et de faire des commentaires, de reporter les avis des gens et même de critiquer la situation. Une fois que les autorités contrôlent toutes les informations diffusées par la presse, il n’y a pas de liberté de presse comme le régime de la Chine, du Corée du Nord ou encore de l’Iran qui applique la censure des médias. Cette liberté de presse peut être liée à celle du peuple, parce qu’une fois qu’ils ne peuvent plus s’exprimer, ils sont sous la loi d’un dictateur. Internet reste un moyen libre de s’exprimer, il ne doit pas être censuré en aucune raison.

 

Pourquoi censurer la presse ?

La censure ne devrait pas s’appliquer dans un pays démocratique. Une seule raison peut évoquer cette censure de la presse est la diffusion des images pornographique d’un journal, ou des images où les âmes sensibles et les enfants n’ont pas le droit de voir. Ainsi que des paroles qui marquent l’indignité d’une personne en la comparant à un animal par exemple, etc. Tout ce qui ne se rapproche pas de l’intimité de la personne peut se diffuser librement.
Le premier journal qui a su exprimer cette liberté de presse en France est « Charlie Hebdo ». Ce journal avait exprimé la situation politique de la France, surtout avec des images satiriques. Mais dommage que la fin de ce journal soit dramatique, donc on ne peut pas dire que les gens supportent les critiques, qu’ils soient bons ou mauvais. Tout cela confirme qu’il est difficile de cerner cette liberté de la presse.

La censure peut même aller jusqu’au journal en ligne. On parle de cyber censure dans ce cas-là, et selon la loi, la censure politique existe quand un journal en ligne ne défend plus les intérêts de son pays, quand il bafoue la question de religion, et ne montre plus de barrière sécuritaire aux enfants, et enfin, quand le journal devient une plateforme commerciale. Tout ceci est plutôt logique, mais la presse demande une liberté d’enquête avant d’appliquer la censure.

Qui peut ordonner la censure ?

Nous ne sommes plus au temps de Napoléon, que c’est le chef de l’État qui ordonne la censure d’une presse. Il existe une commission juridique qui lance des enquêtes sur un sujet abordé par la presse et qui gêne la liberté des autres. Et par des preuves irréfutables, la commission va sortir une ordonnance du tribunal à la censure de la presse.

La presse peut demander sa réouverture si elle accepte ses erreurs et paye l’amende demandée, ou si elle a fait appel et a réussi.